Faits divers - articles de presse 2012

Aisne - Info en direct - Louvre-Lens : une marche culturelle dans l'Aisne

Ils sont arrivés à 15, hier à Vendeuil, et ils étaient plus de 100 à l’arrivée à Ribemont ; un peu moins aujourd'hui jusqu'à Guise.

Durant ces deux jours, des centaines de personnes - marcheurs de la Fédération de randonnée pédestre de Picardie, de Saint-Quentin écologie, Sport pour tous, mais aussi les collégiens de Moÿ-de-l’Aisne, les écoliers du regroupement Mézières-Alaincourt, d’Itancourt, de Sissy-Thenelles, de Ribemont et d’Origny-Sainte-Benoite, etc. - se sont mobilisés.

MOY-DE-L'AISNE - Ils accueilleront les marcheurs du Louvre-Lens

Dans le cadre de la marche inaugurale du musée Louvre-Lens, lors de l'étape Vendeuil-Ribemont, la communauté de commune de la vallée de l'Oise a décidé de soutenir cette action et a demandé au comité d'animation (Cama) d'organiser un ravitaillement au centre social de Moÿ-de-l'Aisne mardi 27 novembre à 11h45 pour tous les marcheurs. Pour cette opération, le Cama sera épaulé par l'association Sport pour tous et par les élèves du collège Suzanne-Deutsch de la Meurthe. La présidente du Cama Céline Kozik avait réuni sa troupe pour préparer cet événement. Elle en a profité pour faire le bilan financier des feux de la Saint-Jean, de la brocante et de la kermesse de la bière. Seule la kermesse de la bière n'arrive pas à un bilan positif dû à un manque de réservations pour compenser le coût de l'orchestre.

Cultur'Aisne - LOUVRE-LENS / Odyssée culturelle dans l'Aisne

REGION - A l’occasion de l’inauguration le 4 décembre prochain du musée Louvre-Lens, une marche culturelle passe dans l’Aisne.

Dans le cadre de l'inauguration du musée du Louvre-Lens programmée le 4 décembre prochain pour une ouverture au public le 12, une marche reliant le Louvre de Paris à celui de Lens est organisée. Un événement au travers pas moins de 7 départements, 120 communes et plus de 170 sites culturels.

Ce musée décidé en 2003 et accordé à Lens l'année suivante, c'est à 140 km de Paris, 200 km de Bruxelles ou Reims, à moins d'une heure de Saint-Quentin, 28 000 m2 de verre et d'aluminium, un investissement de 150 millions d'euros pour des expositions exceptionnelles.

365 km de culture

A cette occasion, d'une balade entre copains initialement prévue en passant par des lieux typiques, l'idée de marche s'est transformée en véritable rassemblement culturel. L'association Louvre-Lens, forte de 2 200 adhérents, et des conseils de la Fédération fran¸aise de randonnée pédestre, en a fait une odyssée de la culture. Une randonnée de 365 km constituée d'un noyau d'une quinzaine de randonneurs aguerris accompagnés à chaque étape par des écoliers, collégiens et membres d'associations.

Partis du Carrousel à Paris mercredi pour rejoindre Lens deux semaines, leur marche culturelle passera dans l'Aisne. La communauté de communes de la vallée de l'Oise a relayé ce projet. Venant de Noyon, ils arriveront lundi à Fargniers ville étape avec visite du musée de la Résistance et de la déportation. Mardi, ils arriveront à Vendeuil vers 10h15 pour un accueil café au stade où les randonneurs seront accompagnés entre autres de marcheurs de la fédération de Picardie, de la communauté de communes de la vallée de l'Oise et de nombreux représentants d'associations, soit un total de près de 200 personnes.

Moy-de-l'Aisne a mis les petits plats dans les grands avec un groupe d'enfants du collège Suzanne-Deutsch en costumes d'aviateurs. Egalement prévue, une halte au centre social pour découvrir une exposition avant de rejoindre Alaincourt où après le déjeuner ils visiteront le musée de Marie-Jeanne.

Par les berges du canal, le cortège ralliera ensuite Mézières-sur-Oise, puis Sissy avec visite de l'église Notre-Dame, pour terminer en milieu d'après-midi à Ribemont. Au programme de cette fin de journée la visite de la maison natale de Condorcet. Mercredi 8e étape direction la cité des Ducs. Un parcours via la chapelle Saint-Germain, le moulin de Lucy, Origny-Sainte-Benoite, l'église fortifiée de Macquigny pour se terminer à Guise au château et au Familistère.

L'an prochain, la communauté de communes de la vallée de l'Oise a promis d'offrir un voyage au musée Louvre-Lens aux écoliers qui auront participé à cet événement. Une annonce qui devrait appeler à la mobilisation.

BOHAIN EN VERMANDOIS - Le colonel dépose les armes après 39 ans

Demain, Roger Scailteux passera la main, après 39 ans de service au sein des sapeurs-pompiers. Retour sur une épopée.

C'est la fin d'une époque pour les sapeurs-pompiers bohainois. Après 39 ans de service, le colonel Scailteux, atteignant la limite d'âge, quitte les rangs. Pendant presque quatre décennies, il a su allier une carrière de pompier, une carrière militaire et son métier de vétérinaire, bien souvent au détriment de sa famille. Demain, il passera le témoin au capitaine Franck Taine.

Roger Scailteux, comment avez-vous tracé votre chemin ?

Lorsque je me suis installé dans mon cabinet de vétérinaire en 72, par le fait de ma profession à Bohain, dans un même secteur d'activités, je croisais fréquemment René Poly qui était le responsable et gradé de la caserne à l'époque. C'est lui qui m'a fait mettre le pied à l'étrier. Je lui ai succédé cinq ans après et j'ai progressivement gravi les échelons.

Quels faits vous ont le plus marqué ?

Outre mes missions dans de nombreux pays du monde, j'ai quelques souvenirs. La grande sécheresse en 76 qui nous obligeait à sortir au quotidien. En 79, mon premier commandement : un gars retranché chez lui, ce qui a coûté la vie à deux personnes, dont un gendarme tué dans l'exercice de ses fonctions à Bohain. Je citerais en 77 d'énormes incendies industriels dans le Saint-Quentinois où nous étions en renfort.

Au point de vue accident, en 86, une voiture est passée sous un train au passage à niveau ici et puis, la même année, dans la nuit du 15 au 16 janvier, rue du Docteur-Dauthuile, le décès de deux gamins dans un incendie ; le lendemain je sommeillais à la maternité pendant que ma fille naissait.

En février et mai 88, je me souviens aussi, au titre d'un détachement départemental, avoir capturé à l'aide d'un fusil anesthésiant deux pumas et un lion à Vendeuil.

Quel bilan tirez-vous de votre commandement et de vos relations avec vos collè:gues ?

Ce fut une formidable expérience humanitaire. On n'a pas besoin de faire de l'humanitaire au bout du monde alors que l'aventure est parfois au bout de sa rue. Tout mon parcours m'a permis d'explorer mille facettes pour aider son prochain en utilisant des techniques particulières.

Quant à mes relations avec mes collègues, ils se sont adaptés à moi et l'inverse. Lorsqu'il y avait des tensions, ce n'était que passager. Chacun remettait de l'eau dans son vin. J'ai trouvé des gens sérieux, disponibles et responsables qui aimaient ce qu'ils faisaient. Tel un groupe de rugbymen, on a œuvré ensemble en équipe. Tu as beau être le chef, si personne te suit, tu n'avances pas.

Comment voyez-vous l'avenir au sein des pompiers ?

L'évolution des technologies comme celles des mentalités est rapide. Je me rends compte que j'étais devenu un dinosaure qui détonnait un peu le système. J'espère - et je crains à la fois - que la profession ne sera pas vouée à l'immobilisme à cause d'une lourde accumulation de réglementation, alors que la vérité est bien celle du terrain.

En dates

DALLON - Quatorze équipes au concours

Le comité des fêtes de Dallon a organisé son traditionnel concours de belote à la salle des fêtes. Quatorze équipes y ont participé. Comme d'habitude, toutes les parties se sont déroulées dans une très bonne ambiance et la convivialité. La présidente Fernande Briffoteaux était satisfaite de la bonne participation des joueurs. L'animation de la soirée a été réalisée par toute l'équipe du comité des fêtes avec la participation de Myriam Hartog, maire de la commune, et son époux.

En fin de soirée, tous les participants ont été récompensés.

En voici le classement : 1. Georges Delot et Ginette Delot de Vendeuil, 2. Nathalie Bontemps et Marylène Thille de La Fère, Myriam et Cornélis Hartog de Dallon.

CYCLISME - Julien Pelletier pétri de talent (Vendeuil)

Du suspense, de l’action, des attaques, des chasses, tels étaient les ingrédients de la course de Vendeuil où Julien Pelletier a réussi un grand numéro.

Voilà le style de course que les amoureux de la petite reine adore par-dessus tout. Là, les Hamois qui s'adjugent pour la troisième fois consécutive cette épreuve, ont réussi un coup parfait même s'ils ont tremblé jusqu'au bout au moment de la délivrance.

Pourtant, l'emblématique Guy Dessaint avait prévenu ses troupes en rappelant que "le circuit de Vendeuil était exigeant et qu'il fallait faire preuve de patience pour tirer son épingle du jeu".

À croire qu'un des coureurs, Julien Pelletier, boulanger de son état et n'ayant dormi que deux heures avant de se présenter à la course, avait enfilé des boules quiès.

Aussitôt le départ, il s'élançait comme un fou, provoquant déjà une échappée de cinq hommes dont C. Thilloy (Ham), Longa (Clermont), Laout (Saint-Quentin), Guerin (Aubervilliers)... Les hostilités étaient déclenchées pour ne s'achever qu'au franchissement de la ligne d'arrivée.

Voir une grosse équipe

Dès lors les poursuites et autres chasses se succédaient avec un Jean-Claude Thilloy au sommet de son art, un champion de Picardie et de France Master fringant, mettant tout en œuvre pour que Ham, voire son fils décroche le bouquet. Et le VC Saint-Quentin s'activait également à l'image de Sébastien Ancelot revenant aussi sur le devant de la scène pour aider Vincent Laout, bien esseulé. Derrière, le Team 94 mettait la main à la pâte comme les Maertens et notamment Raphaël, l'enfant du pays et le seul à n'avoir jamais gagné à Vendeuil, son lieu de résidence.

À 25 km du but, Pelletier remettait une nouvelle couche mais il était à nouveau rejoint par Guérin, Ancelot puis un peu plus loin par les Thilloy avant que Christophe crève et chute dans un virage. Et l'ascension de la côte du Poncelet faisait des dégâts, un endroit que Pelletier appréciait par-dessus tout. C'est d'ailleurs au pied de cette bosse que Julien Pelletier faisait la différence en s'imposant en solitaire pour son troisième bouquet de la saison. Il pouvait bien tirer la langue et faire admirer son percing car il venait de réussir un sacré numéro.

"Je suis un grimpeur et j'aime ce type de parcours, avouait le vainqueur, dimanche, je vais faire une heure de récupération. A l'avenir, je voudrais bien intégrer une grosse formation pour voir exactement ce que je vaux".

1- Julien Pelletier (USHam) les 99 km en 2 h 10', 2- Laout (VCA St Quentin) à 12'', 3- Guérin (CM Aubervilliers ) mt, 4- Longa (AC Clermont), 5- J.C Thilloy (US Ham), 6- C. De Jonckère(O. Grande-Synthe), 7- Ancelot (VCA St Quentin), 8- J. De Jonckère (O. Grande-Synthe) à 3'15'', 9- R. Maertens (VC Laon), 10- A. Mourain (Ham), 12- Couvez (VCA St Quentin), 14- N. Mourain (Ham), 15- Y. Moreau (VCA Saint-Quentin)...

SERAUCOURT LE GRAND - Concours à la carpe

L'arc en ciel vient d’organiser un concours à la carpe pour les qualificatifs 2013 des crazy bait de sensas. Quinze pêcheurs se sont retrouvés pour 5 heures de pêche en individuel. Le lauréat classé premier est Sébastien Delot, habitant Vendeuil avec un score de 68,600 kg ; 2. J-P Spillebout (62,400 kg) ; 3. G. Dierken (46,700 kg) ; 4. H. Geoderis (44,300 kg) ; 5. J. Jeanne (34,200 kg) ; 6. M. Duvent (27,600 kg) ; 7. M. Jumeaux (27,080 kg) ; 8. J. Michel (25,700 kg) ; 9. M. Vilain (22,600 kg) ; 10. J. Desjardin (15,500 kg)... La prochaine sélection se déroulera le 23 juin dans les mêmes conditions d'engagement. D'ici septembre 5 concours seront ainsi organisés pour alimenter la finale nationale réunissant 150 pêcheurs à Socourt dans les Vosges. Inscription possible sur place chaque jour ou au 06-17-71-77-67. Le 10 juin l'établissement organisera un lâcher de grosses truites, de truites baguées donnant droit à une demi journée de pêche gratuite.

FLAVY-LE-MARTEL - 38 équipes tapent le carton

L'Amicale du personnel communal a invité les amateurs de belote à participer à un concours à la salle polyvalente. 38 équipes ont concouru. Habitants de la commune et habitués des villages voisins sont venus s'inscrire et participer ensuite aux cinq parties de cartes de l'après-midi. Les récompenses ont été remises en fin de journée, en présence des responsables de l'Amicale.

En voici les résultats : 1. Jacky Alliot de Ribemont et Roger Rasschaert de Villers-le-Sec, 2. Dante Ricci et Bernard Hebert de Flavy-le-Martel, 3. Patrick Delot et Georges de Vendeuil.

MONCEAU-LES-LEUPS - Cartes sur table

Le Comité des fêtes, présidé par Pierre Ott, a convié il y a quelques jours les amateurs de belote à venir en découdre dans la salle des fêtes de la commune.

Près de cinquante joueurs ont répondu à l'invitation pour s'affronter dans des parties acharnées, mais toujours dans une franche ambiance de convivialité. A ce petit jeu, les féminises ont démontré que le jeu de carte n'était pas exclusivement masculin. La preuve, on trouve deux équipes exclusivement féminines aux première et troisième places, tandis que les seconds sont mixtes.

Vainqueurs : Georgette et Ginette, de Vendeuil, suivis de Bernard et Marie-Claude, de Couvron et de Suzanne et Denise, de Monceau. Une bien sympathique soirée qui a ravi les organisateurs.

ESSIGNY LE GRAND - 32 équipes tapent le carton

Les dirigeants du FC Essigny sont presque aussi bons sur le terrain que pour l'organisation d'un concours de belote.

Trente-deux équipes étaient en lice samedi soir pour leur première manifestation extra-sportive de l'année. Un beau résultat qui récompense les efforts de Sophie Grzéziczak et de son équipe pour faire rentrer un peu d'argent dans les caisses du club.

Le concours a été remporté par l'équipe Marie-Hélène Thil de La Fère et Nathalie Bontemps de Charmes qui remportent la somme de 70 :€, suivies de Romain Doubet et Nicolas Sambre de Noyon ; 3e Sylvie Marlière et Dominique Terrien de Vendeuil ; 4e Philippe Grzéziczak et M. Zarodhni d'Urvillers ; 5e Francis Hubeau de Moÿ-de-l'Aisne et Bernard Richet de Gauchy.

La coopérative cambriolée

La coopérative agricole Acolynace, située à Vendeuil, a été la proie de cambrioleurs. Ils se sont introduits par effraction à l'intérieur de l'établissement et ont fait main basse sur des produits de traitement qui étaient entreposés dans un silo.

Du pesticide et de l'herbicide ont été volés, des produits dont le coût d'achat est relativement élevé. Les malfaiteurs avaient bien préparé leur vol en se munissant du matériel nécessaire notamment pour les transporter. Pas moins de 450 litres et 200 kilogrammes de produits divers ont disparu du stock de la coopérative.

Le vol, commis dans la nuit de jeudi à vendredi, a été découvert lors de la reprise du travail, vendredi. Une plainte a été déposée auprès des gendarmes de la communauté de brigades de Ribemont. Le montant du préjudice est en cours d'évaluation, une enquête est en cours.

FLAVY LE MARTEL - 38 équipes au concours

L'Amicale du personnel communal de Flavy-le-Martel a invité les amateurs de belote à participer à un concours à la salle polyvalente, samedi, en milieu d'après-midi.

Ce concours a connu une bonne participation puisque 38 équipes ont concouru. Habitants de la commune et habitués des villages voisins sont venus s'inscrire et ont participé ensuite aux cinq parties de cartes de l'après-midi. Les récompenses ont été remises en fin de journée, en présence des responsables de l'Amicale du personnel communal.

En voici les résultats : 1. Jacky Alliot de Ribemont et Roger Rasschaert de Villers-le-Sec, 2. Dante Ricci et Bernard Hebert de Flavy-le-Martel, 3. Patrick Delot et Georges de Vendeuil.

Il montre des revues pornos aux ados

Il a presque 80 ans, et l'habitude de se promener tous les jours au même endroit dans ce parc.

Il passe ses journées à se promener et s'asseoir sur un banc. De réputation honorable, ce vieil homme n'a absolument jamais été condamné pour quoi que ce soit. Mais, ce 10 mars, dans ce parc de Vendeuil, il tombe sur des revues pornographiques.

Trois jeunes filles de onze, douze et treize ans se trouvent à côté. Il les interpelle : "Regardez, mais vous ne devez pas en parler à vos parents !" Evidemment, ils en ont parlé, et les parents ont alerté la gendarmerie.

Le prévenu a du mal à trouver ses mots. "C'étaient des hommes et des femmes..." Dans des positions sans équivoque. "J'ai été surpris. Au pied du saule pleureur, j'ai trouvé ces images. J'en avais jamais vu." "Les jeunes filles vous ont bien répondu : C'est dégueulasse ?" "Oui ; j'ai été tellement saisi, je ne sais pas." Car le presque octogénaire est persuadé d'avoir été attrapé, et il n'en démord pas : "C'est un jeune qui m'a piégé et a fait venir les filles vers moi." Selon l'expert, il présente "quelques traces de détérioration" intellectuelle, et pas de dangerosité, un risque de récidive faible.

Le substitut du procureur parle du traumatisme des mineures. "C'est grave. Ce sont des photos que les mineurs ne doivent pas voir. S'il a dit de ne pas en parler aux parents, c'est bien qu'il en avait conscience." Il demande trois mois avec sursis. Pour la défense, Me Donnette insiste sur les "effets de l'âge, pas toujours positifs. On est attaché à une certaine routine. Perturbé, il a eu une réaction complètement absurde. Il n'est pas certain qu'il ait dit de ne pas en parler aux parents, et l'expertise parle bien de démence débutante. C'est pour lui déjà un déshonneur de passer devant le tribunal." Il est entendu par les juges, qui dispensent le prévenu de peine.

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